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 Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina]

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Aldous B. Koch

Aldous B. Koch


Date d'inscription : 30/09/2016
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Région : Angleterre
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MessageSujet: Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina]   Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina] Icon_minitimeSam 8 Oct - 13:10


Sorry for Party Rocking

Aldous & Nina


2 Octobre 2016 - Vers 22h


L'temps passe d'puis qu'j'ai croisé sa gueule dans l'métro un soir. Et j'arrête pas d'y penser. J'pensais qu'tout c'bordel était fini, bien loin derrière, en mode enterré à jamais. Mais faut croire qu'rien s'passe jamais comme prévu pour ma gueule. Alors il est r'venu. J'ai fini par en parler à Dante, qui lui aussi, c'est r'pointé dans ma vie, sans prév'nir. Doit y avoir un sacré karma dans l'coin en c'moment pour qu'mon passé m'rattrape comme ça. Il a beau m'dire d'aller l'trouver, d'essayer d'régler les choses, c'pas pour autant qu'c'est simple. Surtout d'puis qu'j'ai capté c'qu'il est d'venu. C'est p't'être parc'qu'il est pas mort d'puis longtemps, qu'il s'rend pas compte, Dante, des grosses merdes qu'on peut avoir quand on est mort d'puis des lustres. Alors c'soir, comme les autres soirs quand Gab est pas là, j'vais m'mettre une mine dans un bar. Jamais l'même, ça évite les problèmes. C'soir, j'me suis pointé dans Picadilly Circus et j'suis rentré dans un pub qui m'faisait d'l'oeil avec des promos d'ouf sur la bière. C'est pas c'qui m'ferait du bien, mais vaut mieux ça qu'rien. Et j'me collerais une ou deux lignes dans les chiottes si besoin. D'quoi perde la tête l'temps d'une nuit. Comme si ça servait à quelque chose ...

Il s'est assis dans le fond, dans une banquette à moitié défoncée par les soirs et les soirs de beuverie à célébrer le score d'une équipe de rugby ou n'importe quelle autre raison de boire à en gerber sur le bar. Son corps inconfortable, presque comme toujours, avec ces ailes qui menaçaient de poindre à tout moment pour envelopper son torse et le protéger. Aldous s'était toujours demandé si il avait vraiment un contrôle sur elles, où si elles agissaient à leur guise, comme une sorte de protecteur affectueux. Par habitude, il se teint les cheveux en blond, sa couleur naturelle, pour dissimuler le rouge flamboyant des Enfers l'ayant recraché. Et ses yeux noirs comme des billes, il utilise généralement son pouvoir pour les bleuir comme à l'époque de son vivant. Il n'y a que la rage qui lui fasse perdre le contrôle de son apparence, et de son pouvoir, et peut être aussi la peur. Son allure évoque peu ce qu'il est, loin des Instances remarquables du sénat. Non, il ressemble ce qu'il était avant de mourir : un drogué près à tout même à vendre son cul pour sa dose, un mécano aux paluches toujours brunes du cambouis qui a fini par les tacher en profondeur. Il rehausse son débardeur blanc surmonté d'un blouson en cuir. S'il adore voler, la moto reste son moyen de locomotion fétiche et rien à changer sur sa Harley, à part qu'il ne porte plus de casque ...

J'commande une bière. Une pinte. Autant commencer. J'm'rappelle les conversations captées un peu partout, comme quoi boire seul c'est l'début d'la dépendance. Faut dire qu'si j'attendais d'avoir d'la compagnie pour m'torcher la gueule, j's'rais pas saoul souvent. J'me suis jamais d'mander si ça m'gênait, d'avoir personne à qui causer. Tout simplement parc'qu'j'ai toujours pensé qu'si c'était pour m'faire baiser, j'étais p't'être mieux tout seul. Sauf qu'il s'est r'pointé et il a r'mué des trucs qu'étaient bien mieux là où y étaient. Du genre combien ça fait du bien d'se sentir ... "aimé". T'parles d'une niais'rie. C'est pour ça qu'j'ai foutu l'camps, d't'façon, alors j'vais pas m'en plaindre dix piges plus tard ... J'déglingue plusieurs pintes en m'perdant dans des vieux souv'nirs qui m'font tirer une gueule d'dix pieds d'long. J'pense à Gab, qui doit être chez Dante, bien contente à ronronner comme une chatte sur son canap' et à jouer à la grande en tapant dans ses bouteilles ... Elle m'manqu'rait presque, la môme. Au moins une présence. Y a des rires qui m'font sursauter. Des rires et des éclats d'voix. J'tourne la tête. Au bar, y a une rousse qui est responsable de gloussements assez bizarres. Surtout qu'c'te rousse là, elle a strictement rien d'humain !

Il la sent d'ici. Elle est comme lui. Comme lui tout en étant son contraire. Une Instance claire. Une belle âme. Animée par la vertu ... Il grogne à moitié en songeant à ce tas de conneries. Comme si on était pas tous, à différentes échelles, des pourritures à un moment ou à un autre. Aldous avait toujours eu du mal à croire que la véritable bonté existait. Surement parce qu'il avait été abusé si souvent qu'il doutait que la gentillesse soit autre chose qu'un tas de poudre aux yeux. Il renifle un peu en passant les doigts dans sa barbe. Cette fois pour commander, il ne se contente pas d'héler la serveuse avec sa voix rauque et enrouée, non. Il se lève pour commander au bar, en s'approchant suffisamment de la rouquine pour empiéter sur son territoire et lui montrer qu'elle n'était pas la seule surnaturelle du pub. Avec un sourire qui se voulait enjôleur, il la détaille de haut en bas. Alors que sa pinte arrive, il se campe ostensiblement contre le comptoir, sans rien dire, pour voir si l'Ange allait finir par l'aborder. Sa curiosité était piquée au vif, la soirée promettait d'être moins ennuyeuse qu'il s'y était attendu ...

@ Yuki Shuhime


Dernière édition par Aldous B. Koch le Dim 9 Oct - 19:31, édité 1 fois
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Nina McAlistair

Nina McAlistair


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MessageSujet: Re: Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina]   Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina] Icon_minitimeSam 8 Oct - 13:56


Sorry for Party Rocking

Aldous & Nina

L'acool est l'aspirine de l'âme.


La paix est instauré et demeure tant bien que mal. Tu n'étais pas là, lorsque les guerres éclataient. Tu n'étais pas là pour voir ces monstruosités. Parce qu'il n'y a aucun autres mots pour décrire ces crimes. Aucun. Tu as cherché pourtant. Mais le fait est que dans le monde dans lequel vous coexistez, la beauté de l'armistice t'avais convaincu qu'aucune autre vie n'était plus belle à vivre. Parce que les guerres ne sont ni plus ni moins que ce que l'on peut imaginer. Un enchevêtrement de souffrance. Un labyrinthe de pleure. Un méandre de vie gâché. On pourrait croire que seul nos morts sont à plaindre. Mais qui consolera les sanglots d'une mère perdant son fils ?  Qui adoucira les brailleries d'un enfant ayant perdu son frère ainé ? Qui bercera le bébé qui ne connaîtra jamais son père ? Qui rassurera la femme ayant perdu son époux ? Qui ? Parce que ces morts, quand bien même reposent - ils en paix pour leurs bravoures et leurs sacrifices, ont laisser des mères, des femmes, des enfants, des cousins, des oncles, des tantes, des amis, des neveux, des filleuls dans leurs afflictions. Ce sont eux, qui sont à plaindre. Eux qui doivent vivre avec le manque de cet être cher perdu. Eux qui doivent apprendre à combattre la comédie tragique qu'est la Vie. Eux qui doivent affronter au quotidien leurs subsistances, se répétant sans cesse les même questions. Pourquoi lui et pas moi ? Mais aujourd'hui, est un grand jour. Tu célèbre, commémore, honore et glorifie votre présent en dépit de ce passé de monstruosité. Ce soir, tu as envie de changer. Et c'est pour cette raison, pour celle là, que tu es présente. Toi, Nina. Pauvre orpheline vendue.

Tu n'avais pas grand chose à te mettre. A vrai dire, au cour de tes nombreux voyages, tu n'avais pas penser à prendre plus que le nécessaire. Pourtant, maintenant que tu avais repris ta maison, tu arrivais plus facilement à te faire à cette nouvelle vie ici, à Londres. Tu te laissais aller à quelques achats hors du commun. Des bas, des chapeaux, du maquillage. Le fond de teint t'avais sembler être une belle alternative pour cacher tes cicatrices. Le seul hic est qu'il t'en aurait fallut presque trente pots pour recouvrir entièrement celles ci. Tu ne les comptais même plus. Certaine étant dans des endroits complètement inatteignable. Enfin, tu avais laisser rapidement cette option au placard. Une amie t'avait offert quelques robes. Tu avais fais plusieurs fois l'impasse sur ce genre excentricité étant donné que tu n'étais pas sur de pouvoir rester très longtemps et surtout, que ce n'était pas le genre de tenue les plus adapté pour voyager. Tu oubliais quelques fois que tes obligations s'étendaient par delà les frontières. Enfin! Toujours est - il que ce soir, était une soirée un peu particulière. Non pas parce que tu te rendais dans un bar - bien qu'en fait, cela jouait tout de même beaucoup -, mais plutot parce qu'un garçon t'y avait invité. Alek. Tu l'avais rencontré lors d'une de tes courses nocturnes et depuis, vous étiez devenu comme inséparable. Tu le protégeais, comme il te protégeait. Tu l'aimais, comme il t'aimait. Evidemment, tu avais tout de suite accepter son invitation, folle de joie d'enfin pouvoir mener à bien une expérience que tu qualifierais de "normal". Effectivement, ta vie n'avait pas toujours fais partis de ce qualificatif. Pourtant, tu te battais jour et nuit pour que cela change.
Fin prête, habillé d'une jolie robe noir moulant à la perfection tes formes, dévoilant par la même occasion tes dizaines de cicatrices. Coiffé sobrement, laissant libre ta crinière de feu. Maquillé légèrement, tout simplement parce que tu ne savais pas comment t'y prendre et que même Alek n'avait pas su t'expliquer. Ho pour donner des conseils, il était le champion, un véritable amour. Pour un peu, tu regrettais qu'il ne soit pas ton frère. Oui, parfaitement! Son attirance pour les hommes te donnait un peu plus confiance en toi, et te permettait de le questionner sans aucune pudeur. Combien de fois t'étais tu mises dans ce genre de situation embarrassante ? Il avait simplement ris, et t'avais répondu gentiment. " - Non, pas de culotte de grand - mère, tu es trop jeune. Oublie les gaines, tu es trop musclé. Met plutot ce string. Non, pas de soutiens - gorge rouge sous un t - shirt orange. Un véritable amour, toujours de bon conseil.

A regret, tu ferma la porte d'entrée, entendant les jappisements de ton chiot. Tu avais débattu plusieurs fois avec Alek pour pouvoir l'emener avec toi, mais il t'avait certifier que la sécurité ne le laisserait pas entrer. L'abandonner ainsi te brisait littéralement le coeur. Tu courus presque du haut de tes escarpins pour échapper à la torture de cette cacophonie. Enfin, tu pénétra dans l'immense pièce principale. Bien vite, tu te sens complètement à part, exclue. Une pauvre tache, trop bizarre pour correspondre à ce moule d'argent et d'or. Tu pousse un énième soupire pour te persuader de ne pas faire demi - tour au pas de courses. Tu allais rester, et faire honneur à ton partenaire. Encore faudrait - il que celui ci ne soit pas en retard. Pour un peu, il t'amusait. Tu le connaissais peu, mais il te suffisait à lui même. Alek n'était pas un mauvais bougre, et tu étais experte en la matière. Au loin, tu reconnu un ami, accompagné d'un autre homme. Du moins, tu en déduisais de part sa prestance qu'il s'agissait du Garderners en question. Il n'avait eut de cesse de parler de lui, pendant des semaines! Tu aurais eux du mal à croire qu'on puisse ressentir de tel émotion pour un être humain si Dante ne faisait pas désormais partie de ta vie. Malgré tout, tu restais heureuse pour lui. Il méritait le meilleur. Il semblait correspondre à cette allégorie.
Finalement, tu t'approche du comptoir, luttant contre l'irrésistible envie de te glisser dans l'esprit des invités. Tous ces regards te prouvaient à quel point tu pouvais être accro à la frénésie de ton don si angélique soit - il. Inspire, expire. Allez Nina, une soirée, une et une seule. Rapidement, quelques personnes s'approchent de toi. Des hommes pour la plupart. Ils te posent beaucoup de questions et t'offrent beaucoup de verres. Du haut de tes huit cent trente deux ans, tu connais tes limites. Tu sais qu'il t'en faut beaucoup pour succomber aux douces saveurs de l'alcool. Malgré tout, tes éclats de rires trahissent que ta lucidité actuel reste encore à prouver. Tu discutes, d'un peu tout et n'importe quoi. Tu ne sais plus vraiment de quoi tu parles. Tu donnes ton avis, ne pensant plus à la différence d'âge que tu as avec ces simples humains. Encore un autre homme s'approche de toi, commandant un simple verre. Son regard se pose sur toi, et tu sais qu'il y reste. Tu te retiens de lire en lui, et l'espace d'un instant tu as l'impression de ne pas arriver à surmonter cette envie. Tu lèves ton verre de scotch vers lui et le vide d'un coup. " - A votre santé, longue vie à vous. Qu'elle puisse être aussi enrichissante que celle que j'ai vécu. Grand bien m'en fasse, quelque soit mes blessures! Nina, enchanté! " poursuis tu avant de tendre ta main vers lui, un sourire bienveillant aux lèvres. Ce soir, tu ne te cacheras pas. L'alcool te tenait à la gorge, tu n'avais plus envie de faire semblant.


@ Yuki Shuhime
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Aldous B. Koch

Aldous B. Koch


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MessageSujet: Re: Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina]   Sorry for Party Rocking [Aldous & Nina] Icon_minitimeMar 11 Oct - 21:56


Sorry for Party Rocking

Aldous & Nina


2 Octobre 2016 - Vers 22h


J'suis pas du genre tombé d'la derrière pluie. Faut pas m'prendre pour un blaireau. On m'a trop pris pour un con quand j'étais qu'un gosse, j'dis pas qu'j'pourrais pas m'refaire baiser, mais faudrait qu'le type soit sacrément doué. Et j'aime pas l'air avec l'quel elle m'fixe ... Comme si elle essayait d'utiliser son pouvoir d'télépathie sur moi. J'renfile en m'touchant la barbe et j'la vois descendre son verre d'scotch d'une traite. J'hausse le sourcil, et la r'garde un peu amusé. Au moins, elle a d'la descente, la môme. Ouais, parc'qu'elle fait jeunette dans sa p'tite robe cintrée, avec sa paire d'talons tout neufs et ses mèches rousses ondulées. J'pense vite fait à Dante, lui qu'aime bien les rouquines, j'suis quasiment sur qu'elle lui plairait. J'rigole un peu, elle doit rien entendre qu'un grognement. Mais j'en ai rien à battre. J'la fixe toujours, en essayant d'savoir c'qu'une Instance Claire d'son style peut bien foutre là. Surtout une dans son genre, à moitié pintée, qui m'tend la main amicalement après un toast foutrement bizarrement. Mais j'suis pas du genre à foutre un vent, même si j'mets quelqu'secondes à la jauger avant d'lui attraper la paume et d'la broyer un peu dans la mienne.

Aldous commence par ne rien dire. Il touche encore sa barbe en relâchant la paume de la nouvellement présentée Nina et fronce un peu les sourcils. Sa déclaration ne laissait pas de doute quant à sa nature que l'Instance Sombre avait déjà perçu, et les poils hérissés de son bras quand ils sont entrés en contact non plus. Son corps entier se crispait d'instinct, se méfiait de l'influence d'un coeur si pur, d'une droiture si grande. C'était dans sa nature démoniaque que de s'opposer à elle, et pourtant, il n'y avait aucune hostilité dans son regard. Seulement un profond questionnement. Il pense à Gabriella, à sa solitude amère et à la joie de vivre de cette jeune femme qui ne l'était surement pas autant que cela. La bonté avait-elle finalement du bon ? A croire que les gens gentils paraissaient toujours plus heureux, c'était à se poser des questions.

"Mouais, t'sais comme moi qu'pour tous les deux, ça risque d'être encore long, quoi qu'on en pense. Moi c'est Aldous. Qu'est-c'qu'une Claire dans ton genre peut bien foutre ici ?"

Finalement, j'lâche sa main et j'me concentre un moment sur la pinte d'bière qu'la serveuse a posé d'vant moi. J'ai une putain d'envie d'une dose. J'me gratte l'coude, vieux réflexe de manque. Surement parc'qu'être proche d'une meuf qu'irradie comme elle m'fout un coup au moral. J'devrais p't'être lui d'mander sa technique, histoire de. Ou alors lui parler d'ma vie, comme elle a l'air à moitié tronchée et qu'elle s'en rappel'ra surement pas d'main. Comme si ça allait changer un foutu truc d'lui parler d'Nyx. J'sais même pas qui elle est. J'renifle un peu, sort un paquet d'clopes d'ma poche d'cuir et en glisse une entre mes lèvres. J'respire un peu l'odeur du tabac blond avant d'l'allumer et d'reposer mon attention sur la rouquine.

"T'as l'air d'faire clairement tache dans l'décor, l'prend pas mal, mais t'as l'air beaucoup trop bien pour un trou comme c'ui là. J'te paye un verre ou deux si on s'isole un peu, j'ai pas franchement envie d'me r'trouver au milieu d'tous ses ... humains. Surtout si on veut parler tranquille."

Il hèle le barman, demande une bouteille de scotch et un deuxième verre pour la table où il y a son casque de moto. Aldous avait dit qu'il ne se torcherait pas ce soir, mais finalement, avec le Jack Daniel's qui coulerait à flot et la distraction manifeste de la rouquine Claire, ça prendrait un tout autre chemin !

@ Yuki Shuhime
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