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 Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow

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AuteurMessage
Aldous B. Koch

Aldous B. Koch


Date d'inscription : 30/09/2016
Messages : 43
Points RP : 2801

Région : Angleterre
Métier : Mécanicien
MessageSujet: Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow   Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow Icon_minitimeSam 1 Oct - 2:48


Aldous Balthazar Koch

Born Villain feat Charlie Hunnam


Identité

Prénom & Nom : Aldous "Doudou" B. Koch
Date de Naissance : 25 Mars 1941
Lieu de Naissance : Elm Creek, Nebraska, USA
Ville de Résidence : Londres
Situation Maritale : Désespérément célibataire

Date de Mort : 25 MArs 1969
Âge Apparent : 28 ans
Lié à un Maître par le Rituel : Non
Pouvoir : Métamorphoser une partie de son corps
Vice Associé : Orgueil
Affinités : Instances Sombres, Primitifs et Maudits
Inimités : Immortels, Instances Claires et Gardeners
Membre du Sénat : Non



Description

T’vas jamais m’foutre la paix avec tes questions à deux balles toi, hein ? Ouais j’ai pigé. T’veux qu’j’te parle d’mon caractère. Bah putain c’est qu’t’as vraiment rien d’mieux à foutre … T’vois mon gars, tous les gens qu’j’connaisse m’dise à peu près la même chose : parait qu’j’suis un fou dans ma tête. Bah t’sais quoi ? La plupart des gens d’viendrait surement ouf en vivant c’que j’ai vécu. Le seul truc c’est qu’moi, bah j’étais comme ça d’avant. D’puis qu’j’suis gosse j’ai un pète au casque. J’supporte pas grande chose, surtout pas l’autorité. Tu veux qu’ça s’passe bien entre toi et moi, man ? C’est plutôt simple, m’casse pas les couilles et évite d’me dire c’que j’dois faire. J’ai tendance à penser qu’les bêtes sont bien plus loyales et sincères qu’les humains. En tout cas j’ai jamais été trahi par mon clebs. Par contre quand tu vois les sales crasses qu’l’humanité m’a fait bah toi aussi tu t’méfierais mon gars. Alors ouais, j’me réfugie plutôt dans les poils d’mon chien et un bon sniff, au fond d’mon garage, avec un oinj ou deux, un verre ou trois et d’la musique qui gueule bien fort. J’me vois bien faire ça pour l’reste d’l’éternité. Maintenant qu’la came peut plus m’tuer, YALA !

Après, j’suis pas vraiment du genre maléfique. ‘Fin pas dans l’absolu. J’aurais jamais pu être un Banshee simplement parce que ça m’casse les couilles et qu’j’veux surtout faire c’que j’veux quand j’veux. Pas pour autant qu’j’passe ma vie à foutre la merde partout. Non, à la base, j’ai voulu me venger, maintenant qu’c’est fait, j’ai tout plaqué, j’ai pris mes clics mes clacs et mon clebs et j’me suis barré. J’vis ma mort tranquille pépère. J’ai monté mon affaire, j’me démerde plutôt pas mal au final. Des fois j’me dis qu’si j’avais pas été aussi paumé ado, j’serais peut être pas mort. Mais c’est pas franchement grave, dans un sens, ça m’arrange bien. La mort, j’kiffe bien. J’parle même pas des pouvoirs trop cool qu’j’ai et qui m’rende tout plus facile. Ca fait des lustres qu’j’ai pas du payer pour ma dope : suffit d’bien savoir s’y prendre et c’est tellement facile d’faire chier dans son froc le p’tit dealeur du coin. J’ai peur d’rien et d’personne. J’suis invincible dans un sens, personne peut rien m’faire maintenant. Pas pour autant qu’j’ai envie d’m’engager, d’faire confiance, d’sortir de mon trou. Tu m’veux, bah viens, on verra après si tu en vaux la peine.



Choses et Autres

Métier : Mécanicien/Carrossier
Orientation sexuelle : Bisexuel mais n'est tombé amoureux que d'hommes.

Peur : Faiblesses … t’en as d’belles toi ! T’vois pas qu’j’ai qu’ça, des faiblesses ? T’vois pas qu’chui qu’un couillon d’première, vulnérable à quasiment tout ? Bah tu veux la preuve, accroche toi à tes bretelles, ça va s’couer la mousse. Déjà, dis-toi qu’depuis qu’j’ai seize piges, j’me fourre dans l’pif tout c’qui passe et dans les veines tout c’que j’peux. Tu la vois arriver celle là ? Bah j’trouve que c’est d’jà pas mal. T’en veux encore ? Bah vas y, continue, dans l’genre, j’suis plutôt instable. T’vois, quand j’pète un câble, bah généralement ça fait mal. Très mal. Du genre tabassé, cogné, démonté la tronche d’tout ceux qui m’cherchent. Et j’te laisse imaginer qu’ça arrive souvent. Comment ça j’attire la merde aussi ? Mais je t’emmerde ! J’suis sur la défensive, sur’ment à cause d’mon premier problème, t’vas m’dire. Mais j’ai pas envie d’faire des efforts. Ni d’évoluer. Là, tout c’qu’j’veux, c’est décharger toute mon agressivité. Gratuitement, salement, et puis basta. Et p’is t’façon, c’est pas comme si j’risquais grand-chose. Personne peut m’buter, vu qu’j’suis d’jà mort !

Famille : J’ai pas d’famille. J’ai pas d’histoire, pas d’passé, pas d’enfance. J’ai abandonné tout ça y a des plombes. J’veux plus en entendre parler. J’veux pas en parler non plus. Comment ça j’ai pas l’choix ? Commence pas à m’casser les couilles toi, ça me fait d’ja assez chier de remplir ton questionnaire de merde. Bon, si t’insiste … Mon vieux, bah il aimait cogner. Sur ses potes, sur sa femme et sur ses gosses. Sympa hein ? Bah attend d’voir la suite. Ma mère elle, elle devait aimer s’faire cogner. Enfin j’pense parce qu’elle l’a toujours défendu contre l’monde entier. Même quand les flics ont rappliqué parce que c’était quand même louche que tous les gens autour de ce sale type s’pointent une fois sur deux avec la moitié d’la gueule en biais … Alors qu’est-c’que tu veux faire avec ça, hun ? Bah ouais, t’barrer. Et c’est c’que j’ai fais. La seule qu’aurait pu comprendre, c’ma grande sœur. Sauf que elle, bah elle a décidé d’faire comme sa putain d’mère. Elle s’est laissé caser avec un cas soc’ du coin, et a commencé à pondre à seize piges sans finir le lycée. Quand j’me suis tiré, elle habitait dans une espèce d’vieille caravane dans l’jardin d’nos parents avec ses cinq moutards et son couillon. L’seul qui vaut l’coup là d’dans ? Mon clebs. Une brave bête. Uriel, un beau berger suisse. Paraît qu’un putain d’spectre avec un chien blanc ça fait sacrément flipper … Et bah t’sais quoi ? J’m’en bats les couilles !

Mort : C’est là qu’ça d’vient merdique. T’vas m’dire « pourquoi, ça l’était pas avant ? » et t’as pas tord mon gars, t’as pas tord. T’vois un peu la vie d’merde qu’j’ai eu quand j’étais gosse ? Bon bah t’imagine bien que dès qu’j’ai pu m’casser d’là, j’me suis taillé. J’étais jeune, j’étais con et surtout j’étais bien seul. J’ai atterri dans une grosse ville, alors t’vois, comme j’sortais du fin fond d’ma cambrousse, j’ai bien déconné. J’ai touché à tout, à d’la came surtout. Une salop’rie. J’ai vite été accro. Du coup j’me suis rapproché d’mon fournisseur, histoire d’être jamais en manque. Mauvais plan, j’ai du payé mon boule plusieurs fois pour avoir ma dope. Tu vois un peu dans quelle merde j’étais ? Bah y a un type une fois, j’ai cru qu’ce s’rait un client. Que dalle. Il voulait me sortir d’là, il avait des beaux mots, des belles phrases et surtout des belles idées. J’lai suivi comme le toutou camé qu’j’étais. Tout pour m’en sortir. J’aurais pas du. Finalement, j’ai été embarqué dans c’qu’on a appelé après, une secte. T’vois l’genre ? Gourou charismatique à la con. J’étais bien niais et surtout bien camé. Il m’avait promis d’toujours m’filer ma dose. Et pleins d’autres trucs. Alors j’l’ai cru. J’l’ai cru pendant des piges. P’is quand il m’a assuré qu’il fallait qu’j’me plante une bastos dans la tronche pour libérer mon âme, bah j’l’ai cru aussi. T’vois l’résultat ? En plus de tout, c’t’enfoiré qu’avait promis d’s’envoyer dans l’au-delà avec nous … Faut croire que nous prendre tout notre pognon, planquer nos corps pour jamais qu’on les r’trouve, et faire comme si d’rien n’était, c’était une vach’ment meilleure idée !



Histoire

J’suis né en plein milieu d’la guerre 39-45 au fin fond du Nebraska. Un bled pas loin de Elm Creek dans l’comté d’Buffalo. T’vois un peu l’trou du cul du monde. J’ai grandi entre les gnons qu’me filait mon père dès qu’il avait un coup dans l’nez, et laisse moi t’dire qu’ça r’venait souvent, les boites d’corned beef et les épis d’maïs à moitié moisis qu’étaient pas partis pour le ravitaillement des garnisons du débarquement, les premiers comics d’Marvel qui faisaient rêver les pauv’gosses comme moi. J’ai pas eu d’bol, autour d’moi, tous les gars voyaient leur père partir à la guerre, bah moi, il était estropié, du coup, pas besoin d’lui. Fallait d’la chair fraiche pour servir d’chair à canon. Ma grande sœur a passé quelques temps à m’poupouner comme si j’étais une foutue poupée. Un p’tit bébé aux yeux bleus et aux ch’veux blonds, quoi d’mieux pour s’faire une peluche vivante qui dit vraiment « Areuh Areuh ». Ma mère elle, elle était camée. Bah ouais, pour supporter un alcoolique qui pue la pisse qui t’tabasse toute la sainte journée faut bien ça. Mais elle perdait pas la foi en son foutu Seigneur d’mes deux. Elle nous traînait tous à l’église le dimanche pour faire sembler d’jouer à la famille du bonheur. Mon cul ouais ! On aurait convaincu personne, les gens étaient pas dupes. Et nous, on s’avait bien c’qu’on disait sur la famille. C’est pas pour rien qu’ma mère s’attardait jamais en ville. Elle faisait ses courses et basta.

On est pas allés à l’école non plus. Bah ouais, entre la camée catho et l’alcoolo violent, y en a aucun qui voyait l’intérêt d’apprendre à lire, à compter tout ce bordel. C’est les services sociaux, qui sont v’nus un matin dire qu’il fallait qu’on aille au collège. J’avais deux ans d’écart avec Sue, et c’est que quand j’ai eu 12 piges qu’ils se sont manifestés les cons. Pas grave, on nous a envoyé à la grande ville, en internat. On était dans la même classe même si elle était plus vieille. On savait écrire à peine notre nom et lire la bible. Tu m’étonnes qu’on a passé pour les clampins sortis d’leur putain d’cambrousse quand on est arrivés à Elm Creek. C’est là qu’la merde a commencé –t’vas m’dire « quoi, avant c’était pas merdique ? » bah accroche-toi à ton slip kangourou, le meilleur, c’est pour la suite ! T’imagine un peu comment on a pu être traiter en débarquant comme ça. Y a des trucs qu’sont pas passés, d’genre qu’on s’tripotait forcément entre nous vu qu’on venait d’chez les consanguins. Forcément, j’étais pas l’mec l’plus zen du lot, et j’ai pas mal défoncé des gueules à c’t’époque. Sue, elle, elle s’est laissé avoir. Notre pauvre conne d’mère est r’venue un jour en disant qu’notre trou d’uc d’père avait trouvé un mari pour Sue. Elle avait à peine 16 piges, pas d’diplôme, que dalle. Il était moche comme un cul, plus vieux, et vicieux. Pas grave, ça a pas du lui poser d’problème, bien contente d’foutre l’camps d’la ville pour r’tourner « au calme », « chez nous ». Vaste blague si tu veux mon avis. Elle a commencé à pondre quasi direct, et ça s’est jamais trop arrêté. J’ai arrêté d’compter y a un moment.

Moi j’ai quand même réussi à avoir mon diplôme, m’demande pas comment. Mais sitôt la majorité passée, j’peux t’dire qu’j’me suis barré, vite et loin. Pas question qu’ma famille de tarés puisse m’retrouver. Jamais. L’vieux con aurait pas du débarquer un soir dans ma chambre d’étudiant pour m’forcer à r’venir bosser à la ferme. Mon cul. Il m’a tellement savaté la gueule qu’les flics ce sont pointés au final. C’est comme ça qu’j’ai pu m’casser. Sauf qu’c’était bien beau d’tailler la route, par pour autant qu’j’savais où j’allais. J’ai mis l’cap au sud et à l’Est, vers la civilisation. J’rêvais d’Détroit, d’Pittsburgh, d’Chicago. Bah j’y suis allé. J’peux t’dire qu’j’ai pas vu qu’des belles choses. C’est à Chicago qu’j’me suis posé. Dans des squats, au milieu d’autres pauvres types paumés et d’ceux qui zonent depuis des plombes dans l’secteur. J’me rappelle même plus comment ça a commencé, qui m’a filé ma première dose. Tout c’qu’j’me rappelle, c’est qu’ça a commencé fort. L’héro et puis l’crack. Les amphét’ pour tenir quand il fallait cavaler, la coc’ quand j’ai commencé à faire le tapin pour m’payer l’héro. J’faisais jouir des vieilles salopes en manque, après avoir fait l’pignouf’ toute la soirée dans des galas à la con. Parait qu’avec ma gueule d’ange, c’était pratique d’faire l’escorte, avec les extra. Sauf qu’à force, l’héro m’a tellement défoncé la gueule qu’j’étais plus sortable chez les bourges. Du coup on m’a collé sur l’trottoir, histoire de baiser les folasses soumises en manque et d’me faire baiser parce tout ceux qui pouvaient s’payer mon cul. J’valais pas très cher : un truc à graille, une clope, et un dose de dope.

Descente aux enfers, ça c’est comment les journaux en ont parlé. Moi j’me rendais pas compte. J’planais les trois quart du temps, j’étais tout l’temps défoncé ou en bad. L’reste du temps, j’dormais. J’ai pas des souvenirs parfaits du moment, pas franchement moyen d’me rappeler d’tout. J’avais juste qu’une putain d’chose en tête : jamais être renvoyé chez moi. Finalement, c’est un mec pire qu’tout c’que j’avais d’jà croisé qui m’a ramassé un soir. Il m’a baisé bien profond et p’is il m’a susurré des conneries à l’oreille, genre confidences sur l’oreiller. Comme quoi il avait un groupe d’potes qui m’aimeraient bien, qui vivaient tous dans une grande baraque un peu éloignée d’la ville, près d’Atlanta en Géorgie. Qu’j’aurais toute la dope qu’j’veux, qu’j’aurais plus besoin d’me faire troncher pour ça. Qu’là bas, on vivait tous ensemble, égaux, en harmonie. Belle fumisterie hippie d’mes deux ouais ! Mais j’étais con, et surtout défoncé. J’l’ai suivi. J’ai quitté Chicago et mon squat pourri, mon mac et mon dealeur, j’ai foutu l’camp encore. Faut croire qu’j’allais faire ça toute ma vie. J’suis allé habité avec lui dans sa maison du bonheur peace and love. C’était comme il l’avait dit au début. Pis après c’est d’venu différent. Fallait écouter des discours, fallait chanter des trucs zarb, fallait s’réunir tous et baiser dans une partouse générale, fallait l’laisser tout t’faire, tout t’dire. Et tu trouvais ça normal, tu vois l’genre ? Ouais, une putain d’secte avec un putain d’pervers narcissique comme gourou. Et une bande de camés cons comme des bites qui lui bouffaient la bite et dans l’creux d’la main.

Sauf qu’un jour, il avait décidé qu’il fallait qu’on s’flingue tous. Histoire d’trouver la paix, d’rejoindre un monde meilleur. Un monceau d’conneries mystiques à deux bucks. Sauf qu’on l’a tous fait. L’canon dans l’bec et une bastos au fond du gosier. Bye bye la vie terrestre, bonjour le chaos. C’que j’avais pas prévu, c’était d’pas crever et d’me réveiller un matin, dans mon squat d’Chicago, comme si d’rien n’était. J’pensais avoir rêver toute cette merde quand j’ai vu les titres d’une feuille d’chou dans la rue : suicide de masse dans une secte en Géorgie, le gourou reste introuvable tout comme les dépouilles de la majorité de membres de la secte. Là j’ai compris qu’cet enculé d’mes deux m’l’avait mis bien profond. Bon, j’avais pas encore pigé qu’j’étais mort et c’que j’étais d’venu. Ca, c’est une brave fille un peu tarte qu’m’a tout expliqué avant qu’j’la pousse à s’flinguer sans faire exprès. Trop de haine dans ton cœur, qu’elle disait avant d’creuser, tu es une Instance Sombre. Bon, j’avais pas tous les détails en main, mais j’en avais rien à foutre. J’ai traqué cet enculé jusqu’à ce qu’j’le r’trouve. Planqué en Jamaïque, avec le pognon d’ceux qu’en avait dans l’groupe. Il aurait pas pensé r’voir ma gueule un jour. J’l’ai tellement harcelé d’hallu toujours plus glauques et d’illusions morbides qu’il a fini par s’mettre un poids autour du bide et un boulet au pied avant d’se balancer à la flotte. Pas cool comme mort. Pas sûr qu’il méritait mieux.

Après ça, j’suis d’venu quelqu’un d’autre. Fin pas totalement, j’suis toujours aussi camé, mais ça m’fait d’moins en moins d’effet. J’ai pris un clebs, j’ai appris un job et j’me suis posé en Angleterre pour ouvrir mon garage. J’bricole des caisses et des bécanes pour quelques ronds au black et j’me trouve mes doses en foutant la pétoche à ceux qu’je chope avec du matos. Ca r’semble à la vie qu’j’aurais pu avoir si j’avais pas déconné salement. J’sais pas si c’est une sorte de deuxième chance ou quoi. On verra bien, d’t’façon, maintenant qu’j’suis mort, qu’est-c’tu veux qui m’arrive de pire, hein ?



Joueur

Je n'ai qu'un mot à dire : #Aldante Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow 3226041498

@ Yuki Shuhime
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Dante Boogeyman

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Métier : Propriétaire du Blue Devil.
MessageSujet: Re: Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow   Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow Icon_minitimeDim 2 Oct - 21:18


Félicitations Doudou!

Bienvenue parmi les Born Villain


Tu es validé !!

Rien à dire, la perfection. Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow 3226041498


Après ta validation, tu vas devoir suivre le périple de l'initiation : tu verras, grâce à la petite fiche que tu as rempli pour signaler ta fiche terminée, tu seras recenser partout d'un coup, pratique non ? Alors ensuite ?

Et bien ta fiche sera déplacée dans un dossier spécial à ton nom, dans le forum de ta race, dans lequel tu pourras ouvrir ta fiche de lien (tu as un modèle à disposition là) et ta chronologie de RP (tu as un modèle à disposition ici aussi).

Tu peux après t'amuser comme bon te semble : ouvrir un rp, participer au flood, nous rejoindre sur la chatbox, ou encore. Enfin, tu peux demander l'ouverture d'une section privée (métier, logement, ce que tu veux) ou alors réclamer des liens et/ou des rps.

Si tu as le moindre soucis, hésite pas à contacter le staff :

@ Yuki Shuhime
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Heathcliff A. Lovecraft

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Métier : Artiste Peintre
Force Magique : Matière
Pouvoirs : Manipulation du Son
MessageSujet: Re: Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow   Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow Icon_minitimeMar 4 Oct - 18:22

Merci Bro' Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow 3226041498
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MessageSujet: Re: Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow   Aldous Balthazar Koch - Ablaze My Sorrow Icon_minitime

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